La Ville de Sutton lance une campagne contre le vandalisme
Face à une aggravation anormale des actes de vandalisme commis à Sutton cet été, la Ville a entrepris une campagne de sensibilisation visant à attirer l’attention de toute la population sur ce phénomène inquiétant.
Une circulaire envoyée par la poste dans tous les foyers
Aujourd’hui, tous les résidents de Sutton ont reçu par la poste un appel à stopper le vandalisme accompagné d’un message du maire Robert Benoît. Le mot clé de cette campagne est #suttonrespect, parce que c’est ce que nous voulons tous dans notre communauté : le respect des uns et des autres, le respect de nos infrastructures municipales, le respect de nos commerces, de nos habitations, de notre environnement.
La Ville a pris des mesures et continue de réfléchir, en collaboration avec les intervenants du milieu, à des moyens pour arrêter ces actes de vandalisme et les empêcher l’avenir.
D’ici là, il est de la responsabilité de tous de communiquer tout renseignement permettant d’identifier les personnes qui ont commis ces gestes criminels. La Sûreté du Québec met à la disposition des citoyens un numéro de téléphone gratuit et confidentiel : le 310-4141. Les appels sont anonymes.
Des affiches distribuées en plusieurs endroits de la ville
Cinq affiches ont été placardées à différents endroits pour dénoncer les actes odieux qui ont été commis récemment.
Elles veulent pointer l’absurdité et la futilité des gestes, sachant que des crimes plus graves ont aussi été commis comme des effractions et des vols chez plusieurs commerçants. Il faut que ça cesse!
Le vandalisme, c’est l’affaire de tous
Nous sommes tous concernés, en tant que citoyens, voisins, parents, grands-parents, amis, professionnels.
Il faut conscientiser les jeunes autour de nous et prêter attention aux situations qui peuvent mener au vandalisme. Des comités de surveillance de quartier existaient auparavant et pourraient être remis sur pied. Un projet de médiation culturelle visant des activités de graffiti légal pour les jeunes est en préparation. Des groupes de réflexion avec des jeunes de 10 à 25 ans sont envisagés pour trouver des idées et valoriser des initiatives qui pourraient prévenir ce phénomène qui crée un sentiment d’insécurité.